Nouvelle organisation de mes OS

Après avoir testé un certains nombre de systèmes d’exploitations dans le but d’en trouver un dont l’utilisation s’approcherait d’Ubuntu avec Gnome 2, j’ai décidé de me résigner et de me faire violence en utilisant toutes les interfaces que je n’aime pas afin de savoir me servir un peu de tout. Je suis donc de retour sous Ubuntu et, comme je m’y attendais, j’ai beaucoup à critiquer sur Unity. Etant une interface très jeune, je pense qu’il lui faudra un peu de temps pour corriger les défauts qui en découlent. Sur mon ordinateur fixe, j’ai décidé de faire un double boot, alors que jusqu’ici j’étais exclusivement sur Windows 7. Je vais donc passer sur Fedora 17 en OS principal et garder mon Windows 7 en parallèle au cas où le besoin s’en fasse sentir. Je vais ainsi pouvoir tester un système radicalement différent avec la gestion en rpm au lieu des deb et avec Gnome 3. Ainsi, en résumé, voilà l’organisation des machines que j’utilise :

  • Ordinateur portable :
    • Ubuntu 12.04 
    • Windows 7
    • Backtrack 5 r3
  • Ordinateur fixe :
    • Fedora 17
    • Windows 7
  • Ordinateur d’appoint :
    • Xubuntu 12.04

Raccourcis de verrouillage de l’écran

Etant en école d’informatique, il est un réflexe de survie qui n’a pas de prix et qui est de vérifier que son écran ou sa session est bien verrouillée lorsque l’on s’éloigne de sa machine.

Tout contrevenant est passible d’un fichier host modifié, donc d’un google qui se transforme en redtube, d’un fond d’écran scatologique, d’une mémoire saturée par un lancement massif de tous les programmes installés, du lancement d’un trojan maison, d’un programme de perturbation de la souris et bien d’autres encore.

Voilà donc les raccourcis clavier à appliquer systématiquement avant de s’éloigner de sa machine :

  • Sous Windows : « Touche Windows + L »
  • Sous Ubuntu : « Ctrl + Alt + L » Sur mon ordinateur, « Fn+ Space » fonctionne aussi mais je ne sais pas si c’est en rapport avec les Hotkeys ASUS ou si c’est un raccourcis disponible avec Ubuntu. En tout cas il n’est pas exclusif à Unity puisque ça fonctionnait avant avec Gnome 2

Nouvelle direction de ce blog

Un entretien de stage il y a quelques mois m’a fait prendre conscience qu’un blog peut aussi être une plateforme publique des compétences que l’on acquiert et maitrise au fur et à mesure des années. Ainsi, lorsque l’un des recruteurs m’a demandé pourquoi je n’avais rien concernant le développement (je postulais pour un poste en développement), je me suis retrouvé con à lui dire que je ne le mettais pas sur ce blog et qu’un autre allait voir le jour pour cela.

Après réflexion, rien ne m’empêche d’intégrer la partie développement dans ce blog et même au contraire, cela permet de centraliser l’intégralité de mes acquis au même endroit. Je pensais qu’il serait plus pratique d’isoler le développement afin de suivre l’évolution de tel ou tel projet sans qu’il soit mélanger au reste de mes recherches, mais finalement, les tags permettent facilement de séparer les contenus.

Je marquerais ainsi aussi désormais les différentes trouvailles / architectures / plug-ins / configurations / fonctions que je trouverais concernant le développement dans tous les langages que je rencontre / utilise.

Enfin, je mettrais aussi un CV en version Light pour que les recruteurs éventuels qui atterriraient sur mon site puissent savoir que je suis la personne qu’il leur faut. ^^

Activer l’espace insécable sous Xubuntu

J’avais eu un problème similaire il y a quelques années lorsque je travaillais avec Code::Blocks. Les espaces n’étaient pas pris en considération. La cause est que seuls les espaces insécables (non-breaking spaces) sont pris en compte. Il existe plusieurs manières de remédier à ce problème :

  • La première est la plus contraignante mais la plus pérenne. Elle consiste à insérer les espaces à l’aide des touches Ctrl + Alt + Espace
  • La deuxième est celle qui avait fonctionné sur ma Ubuntu quelques années auparavant. Elle consiste à aller dans les options Système -> Préférence -> Clavier -> Onglet Agencement -> Autres Options -> Using space key to input non-breakable space character -> Space key outputs usual space at any level
  • Une autre solution que je n’ai jamais testée moi même mais que j’ai trouvé sur internet consiste à modifier son fichier /etc/X11/xorg.conf et à commenter la ligne  » Option « XkbVariant » « oss »  » puis à redémarrer le serveur X.
  • Enfin, celle qui m’a permis de résoudre mon problème sous Xubuntu a été de me rendre dans Paramètres -> Gestionnaire de paramètres -> Clavier -> Onlget Disposition -> Décocher utiliser les paramètres par défaut -> Modifier la disposition du clavier -> Français (variante obsolète)

Toutes ces techniques permettent d’activer les espaces insécables à la place des espaces normaux mais ne fonctionnent pas forcément toutes en fonction de la distribution utilisée.

 

Changer le mot de passe d’un utilisateur MySQL

Je viens juste de me retrouver dans le cas où j’avais oublié le mot de passe d’un de mes utilisateur MySQL. Il fallait donc que je puisse soit le retrouver, mais je n’ai pas le temps de m’amuser à faire du brute force sur des hash surtout que je sais que le mot de passe que j’ai mis est extrêmement long, soit le changer.

Vu que l’utilisateur root n’est pas là que pour créer des BDD et des utilisateurs, il faut bien s’en servir. On va donc commencer par se connecter avec cet utilisateur à l’aide de la commande :

mysql -u root -p

Une fois la connexion effectuée, on va utiliser la base de donnée qui sert à la gestion de MySQL à savoir : mysql …

USE mysql;

On procède ensuite au changement de mot de passe à l’aide de la commande UPDATE :

UPDATE user SET password=PASSWORD('<NOUVEAU_MOT_DE_PASSE>') WHERE user='<NOM_DE_L_UTILISATEUR_DONT_ON_VEUT_CHANGER_LE_MDP>';

On applique ensuite les changement à l’aide de la commande :

FLUSH PRIVILEGES;

D’autres manières de faire existent dans la documentation officielle en fonction des versions/besoins.

Ajouter une favicon à un blog WordPress

Je voulais ajouter une favicon à mon blog WordPress pour rendre le stockage en favoris plus attractif que les icônes de base des différents navigateurs.

Je connaissais la manière classique d’ajouter une favicon en mettant dans le <head> d’un page la ligne :

<link rel="icon" type="<MIME_DE_LA_FAVICON>" href="<ADRESSE_DE_LA_FAVICON>" />

J’aurais ainsi pu appliquer cette méthode en modifiant le fichier header.php et en ajoutant cette ligne mais je me suis dis : « Je suis sous WordPress, il existe des plugins pour tout, choisissons en un qui va bien ». J’ai donc choisi le plugin All in one Favicon.

Ce plugin permet beaucoup plus de configuration qu’en ligne par ligne et simplifie réellement la mise en place d’une favicon. Me voilà à présent avec un magnifique logo !

L’effet Streisand ça marche quand tout le monde s’y met

J’ai décidé de créer un sous domaine dont le but est d’héberger des sites qui se sont retrouvés, à un moment ou à un autre, menacés de censure.

La forte diffusion d’un contenu menacé de blocage s’appelle l’effet Streisand.
Vous pourrez désormais retrouver les sites dont je copie le contenu pour en éviter la censure à l’adresse : http://streisand.laurentsanselme.com

Fixer une adresse IP manuellement sous Linux

Pour fixer une adresse IP sous Linux, il suffit de modifier le fichier /etc/network/interfaces.

Ce fichier contient les configurations des différentes interfaces réseau de la machine. Il suffit de créer des lignes selon ce format pour avoir une interface dont l’IP (v4) sera fixée :

iface <NOM_DE_L_INTERFACE> inet static
address <ADRESSE_IP_QUE_L_ON_VEUT_FIXER>
netmask <MASQUE_DE_SOUS_RÉSEAU>
getway <ADRESSE_DE_LA_PASSERELLE_PAR_DEFAUT>

Pour la repasser en IP dynamique, il suffit de remplacer ces lignes par :

iface <NOM_DE_L_INTERFACE> inet dhcp

Déplacer un WordPress sur un autre serveur

L’autre jour, j’ai essayer d’aider un copain (http://www.lebuffetplaylist.fr/) à s’occuper de son WordPress qui avait été installé en un clic avec l’option application de 1&1. Cette option s’avère être un vrai calvaire pour toutes les opérations de maintenance pour plusieurs raisons.

La première est que les droits accordés à l’application ne permettent pas d’ajouter ou de modifier quoi que ce soit à la main. Toutes les opérations ne peuvent être faites que depuis WordPress. De plus les permaliens ne peuvent pas fonctionner puisque sur 1&1, le module pour l’url rewriting ne s’active qu’en modifiant le .htaccess.

La deuxième est l’impossibilité d’accéder à la base de données créée pour l’occasion. On ne peut même pas la dumper sans passer par un plugin WordPress.

Après avoir cherché des solutions pendant un bon moment, et vu la faible marge de manœuvre qu’autorise l’application pré installée 1&1, nous avons finis par faire une exportation depuis l’onglet « Outils« , copier le thème directement dans le dossier wp-content/themes/ et noté pour réinstallation le nom des plugins qui l’intéressaient. Ceci  a aussi permis de faire du trie vu la quantité prodigieuse de plugins qui s’entremêlaient. Il fallut cependant refaire quelques configurations comme l’agencement de certains modules/liens.

Cette solution était un peu particulière vu la nature du problème mais il existe un plugin incroyablement efficace et qui a l’avantage d’être simple à utiliser.

L’offre iKoula que je possède actuellement n’ayant qu’une durée d’un an, je me retrouverais avec cette nécessité de transfert donc j’ai préféré prendre les devant. En plus de me fournir un transfert immédiat le jour où j’en aurais besoin, le plugin que j’ai choisis me permet de faire des sauvegardes régulières pour le cas où un problème survienne.

Le plugin que j’ai choisis est WordPress Move. Il suffit de recréer une installation basique standard sur le nouvel emplacement et d’y installer le plugin pour faire le transfert et réinstaller plugins/thèmes/posts/commentaires comme si ils avaient étés fait sur ce nouveau serveur et pas sur l’ancien. Redoutable !

Changer le propriétaire et le groupe d’un dossier/fichier

Pour changer le propriétaire et le groupe d’un dossier ou d’un fichier, j’ai toujours utilisé deux commandes l’une après l’autre à savoir :

chown <NOM_DU_NOUVEAU_PROPRIÉTAIRE> <NOM_DU_FICHIER/DOSSIER>
chgrp <NOM_DU_NOUVEAU_GROUPE> <NOM_DU_FICHIER/DOSSIER>

Seulement je viens d’apprendre qu’on peut faire exactement la même chose en n’utilisant qu’une seule commande :

chown <NOM_DU_NOUVEAU_PROPRIÉTAIRE>:<NOM_DU_NOUVEAU_GROUPE> <NOM_DU_FICHIER/DOSSIER>